Baka = Aho(ka) = Obakasan= (crétin, stupide), d'une facon relativement poli. Tame = (enflure) Kuso=(shit,merde) Kimoi = Mukatsuku = (disgasting) Uzai = pour quelqu'un qui te répugnes, que tu hais.
Fête nationale officielle
Le 3 mai de chaque année est au Japon le jour anniversaire de la constitution de 1947: Kempô Kinembi. Pour cette occasion la Diète nationale, située à Tôkyô dans le quartier de Kasumigaseki, est exceptionnellement ouverte au public.Fête nationale officielle
Le 29 avril est le jour anniversaire de l'empereur Hirohito. Ce jour est férié depuis sa montée sur le trône impérial en 1926. Après la mort, en 1989, de l'empereur Hirohito, un amoureux de la nature, le 29 avril fut déclaré "journée verte": Midori no Hi. Chaque année à cette date, des milliers de bénévoles sont mobilisés pour planter des arbres, nettoyer des sites naturels et participer à des campagnes de sensibilisation de leurs concitoyens au sujet de la protection de l'environnement.Fête nationale officielle
Le 21 mars est le jour de l'équinoxe (higan) de printemps.Cette fête marque l'arrivée du printemps. Sa date varie selon les années entre le 17 et le 24 mars car la rotation de la terre n'est pas précisément périodique.Ce jour-là, on rend hommage aux morts en allant en famille fleurir leur tombes. Des cérémonies religieuses dédiées à la mémoire des défunts sont organisées dans tous les temples bouddhiques et dans les foyers des gâteaux de riz et de haricots (ohagi) sont placés sur le butsudan (autel bouddhique familial).Fête nationale officielle
Depuis 1966, le 11 février est officiellement le jour anniversaire de la fondation (mythique) de l'état japonais par l'empereur Jimmu (660 avant JC). Cette fête nationale, Kenkoku Kinen no Hi, donne toujours lieu à de vives controverses et manifestations dans tout le pays car elle présente une forte coloration nationaliste.En effet elle correspond aussi à la date de la proclamation de la constitution de 1889 qui mit définitivement fin à l'ère des shôgun et promut l'empereur chef suprême de l'Empire du Soleil Levant en cultivant le mythe de son essence divine.Fête nationale officielle
Seijin no Hi est le rite de passage à l'âge adulte. Il fut instauré officiellement en 1948 et avait lieu chaque année le 15 du mois de janvier jusqu'en 1999.Depuis l'an 2000 le "jour de la majorité" se déroule chaque année le second lundi du mois de janvier.Cette fête nationale tire son origine d'un ancien rite de passage à l'âge adulte de la religion shintô appelé gempuku ("don du chapeau d'homme").Jusqu'au 19e siècle l'usage voulait que les garçons issus d'une famille de samouraï recoivent entre 10 et 16 ans un chapeau (eboshi) et un nom d'adulte au cours d'une cérémonie marquant leur passage dans le monde des adultes.Une variante de cette cérémonie appelée kanrei était observée dans l'aristocratie et les garçons du peuple recevaient un fundoshi (un pagne en lin ou en coton semblable à celui que portent de nos jours les lutteurs de sumô) au lieu de l'eboshi des samuraï.A l'issue du gempuku, les garçons devenaient des membres à part entière de la communauté; ils pouvaient notamment se marier et participer aux affaires politiques et religieuses.Quant aux filles, elles étaient déclarées bonnes à marier entre 12 et 16 ans au cours d'une cérémonie de passage à l'âge adulte appelée mogi ("revêtir une robe").Elles recevaient alors un kimono et, dans certaines régions, on leur noircissait les dents et on leur rasait les sourcils.De nos jours, l'esprit de ces rites ancestraux de passage à l'âge adulte subsiste dans le "Jour de la Maturité", Seijin no Hi, célébré dans tout le pays. A l'occasion de Seijin no Hi, tous les jeunes gens qui ont eu 20 ans depuis le 2 avril de l'année passée ou qui auront 20 ans avant le 1er avril de l'année en cours retournent dans leur ville d'origine.A la mairie ils assistent, vêtus de leurs plus beaux habits traditionnels (souvent un costume loué très cher pour cette occasion unique), à une petite cérémonie civile informelle, seijin shiki, au cours de laquelle le maire de la ville les instruit des devoirs qu'ils auront à assumer tout au long de leur vie d'adulte.Ensuite, filles et garçons vont en groupes prier dans les grands sanctuaires de leur ville.Pour Seijin no Hi, chaque sanctuaire organise une cérémonie spéciale. C'est une séance de tir à l'arc qui a pour but de montrer aux jeunes que l'âge adulte est une épreuve continuelle qui ne peut être surmontée qu'avec patience et maîtrise de soi...Au Japon, l'âge de la majorité est de 20 ans. Les Japonais atteignant cet âge sont légalement autorisés à boire de l'alcool, à fumer et obtiennent le droit de vote.Fête nationale officielle
Pour une grande majorité de Japonais, les festivités du Jour de l'An (Ganjitsu) commencent dès les premières minutes de la nouvelle année. En effet lorsque les cloches des temples bouddhiques annoncent l'entrée dans la nouvelle année, des millions de Japonais se massent dans les temples et les sanctuaires pour adresser aux dieux leurs prières pour une bonne et heureuse année. A l'aube, chacun a les yeux fixés sur la ligne d'horizon de l'océan pacifique pour admirer le premier lever de soleil de l'année, un symbole fort du Japon éternel qui chaque 1er janvier s'éveille à un nouveau destin...La journée se déroule très tranquillement. Chacun se remémore les événements marquants de l'année passée pour les enterrer définitivement puis, dans son for intérieur, chacun formule ses voeux et bonnes résolutions pour l'année commençante.Le soir chacun s'endort en se motivant pour faire une beau rêve car, selon un croyance populaire, le premier rêve de l'année (hatsuyume) augure d'une bonne ou d'une mauvaise année à venir.Fête nationale officielle
Oshôgatsu désigne les fêtes du nouvel an qui se déroulent sur trois jour, du 1er au 3 janvier (shôgatsu sanga nichi).Pendant cette période de l'année toutes les administrations, écoles, universités, et presque toutes les entreprises publiques ou privées sont fermées. Les grandes villes sont désertées par une grande majorité de citadins partis rejoindre leur famille en province. Le calme qui règne alors, par exemple, à Tôkyô est impressionnant, voire inquiétant... Dès le milieu du mois de décembre les fêtes de fin d'année s'annoncent par l'envoi rituel des cartes de voeux du nouvel an (nengajô). Au Japon, on se doit d'adresser ses voeux non seulement à ses proches mais aussi à ses collègues de travail, son patron et à toutes celles et tous ceux dont on est redevable d'un service rendu au cours de l'année finissante.En conséquence, la poste japonaise ouvre chaque année en décembre un service spécial de collecte et d'acheminement de plusieurs milliards de cartes de voeux. Tout est organisé pour que chaque carte arrive à son destinataire le 1er janvier!Fin décembre, avant de se séparer, les collègues de travail enterrent l'année passée ensemble au cours d'un pot informel appelé bonenkai. C'est souvent l'occasion pour beaucoup d'exprimer leurs frustrations relationnelles...Le dernier jour de l'année (Omisoka) est consacré à mettre une dernière main aux préparatifs des festivités du jour de l'an et au recueillement en famille...C'est le 1er janvier à l'aube que commence véritablement Oshôgatsu par la première visite de l'année d'un lieu saint (Hatsumôde ou hatsumairi) afin de prier pour une bonne et heureuse année. Dans les sanctuaires, les visiteurs ramènent les talismans de l'année dernière, qui seront brûlés, et en achètent de nouveaux, notamment un hamaya: une flèche porte-bonheur qui, dit-on, protège contre les mauvais esprits.Ils consultent aussi l'omikuji pour connaître leur horoscope annuelle.Chaque année, l'ensemble des temples et des sanctuaires du Japon, accueillent près de 90 millions de visiteurs sur la seule période d'Oshôgatsu!Comme en Occident, le repas du nouvel an est traditionnellement somptueux. La cuisine japonaise du nouvel an (Osechi ryôri) est préparée à l'avance. Placée dans des boîtes laquées superposées (jûbako), elle se conserve plusieurs jours.Elle se compose d'ingrédients qui, selon la croyance populaire, sont de bons présages pour la nouvelle année comme la daurade, les oeufs de hareng, les fruits de mer, les haricots confits, des racines de lotus, des pousses de bambou, et des algues.Une soupe appelée ozôni, faite de légumes, de poisson et de mochi (gâteaux de riz gluant cuit à la vapeur et pilé), accompagne généralement le repas qui est bien sûr copieusement arrosé de toso (sake épicé).Un élément omniprésent dans la nourriture des fêtes du nouvel an est le mochi que l'on prépare cérémonieusement dans les sanctuaires shintô ou que l'on achète tout fait. Ces galettes de riz entrent dans la composition de nombreux plats de saison et des pâtisseries. En particulier, des mochi (kagami mochi) sont offerts aux divinités annonciatrices de la nouvelle année (toshigami).Il est de coutume (kagami biraki) de manger le kagami mochi en famille le 11 janvier; une façon de se pénétrer de la bienveillance des toshigami.Dans la journée, les enfants s'adonnent à différents jeux traditionnels: tako age (cerf-volant), hanetsuki (une sorte de badmington), karuta (un jeu de cartes présentant des poèmes...), koma (toupie), et recoivent de leurs proches des cadeaux (otoshidama), généralement de l'argent placé dans une enveloppe spéciale.Cependant, comme partout, les traditions se perdent et les jeux d'antan sont de plus en plus délaissés au profit des jeux électroniques.Les fêtes du nouvel an prennent fin dans la soirée du 7 janvier (le 14, suivant la coutume, dans certaines provinces...). Toutes les décorations sont alors brûlées au cours d'une joyeuse cérémonie appelée dondoyaki...Pour 4 gourmets Ingrédients : 2 blocs de "silk" tofu (kunigoshi) 15 cm d'algue konbu 5 tasses d'eau Pour la sauce : 2 tasses de dashi 1/3 tasse de sauce soja 1 cuillerée à soupe de mirin
Ingrédients : 3 cuisses de poulet fermier 3 cuillères à soupe de sauce soja 1 cuillère à soupe de saké 1 cuillère à soupe de Mirin saké doux 1 cuillère à café de jus frais de gingembre 3 cuillères à soupes d'huile de sésame
Pour 4 personnes Ingrédients : 800 g d'aloyau de boeuf taillé en lanières d'1 cm d'épaisseur sur 10 cm de long. Marinade : 15 cl de sauce de soja 5 cuil. à soupe de xérès sec ou de saké 2 grosses gousses d'ail écrasées 1 cuil. à café de gingembre en poudre 1 cuil. à café de sucre
Pour 4 personnesLes ingrédients : 400 g de saumon 2 c. à soupe de vinaigre de riz 20 cl d’eau 300 g de riz à sushis ou riz rond 1 cuil. à soupe de wasabi 1 cuil. à café de poivre fraîchement moulu
Pour 4 personnes
Ingrédients :
4 feuilles d'algues séchées 1 avocat 1 concombre 125g de saumon fumé ou de crabe 1 CC de wasabi 1 CS de graines de sésame rôties 1 tasse de riz japonais Pour l'assaisonnement: 1/3 tasse de vinaigre de riz 4 CC de sucre 2 CC de sel Sauce d'accompagnement : 1/2 CC d'huile de sésame 1/4 tasse de vinaigre de riz 1/4 tasse de sauce de soja 1 natte de bambou (maki-su) Recette :
Temps de préparation et de cuisson : 10 min.Difficulté : très facile
Ingrédients : 75 g d’escalope de poulet 30 g de Perles du Japon pour potages 4 champignons parfumés déshydratés . 1/4 litre d’eau 1,5 cubes de bouillon de volaille 1 c. à soupe de fécule de pommes de terre 1 c. à soupe de vin blanc 3 c. à soupe d’huile Sauce soja Coriandre fraîche.
Pour 1 célibataireIngrédients : 80 g de nouilles udon 25 cl de bouillon udonji chaud 50 g de filet de boeuf, finement émincé 1 cuillerée à soupe de ciboule verte émincé 1 cuillerée à soupe de morceaux de pâte à tempura cuite 1/2 cuillerée à café de graines de sésame blanc concassées
Ingrédients : 600 g de filet de boeuf l50 g de nouilles Harusame 150 g de champignons Enoki-dake 8 têtes de Shiitake incisées en étoile l bloc de tofu 200 g de feuilles de chou chinois Sauce Ponzu Des feuilles de chrysanthèmes
Ingrédients :
2 verres de riz japonais, 1/2 poireau, 1 oignon 2 escalopes de poulet 2 oeufs sauce de soja claire sucre en poudre bouillon dashi ou bien bouillon de légumes.
Pour 4 personnesIngrédients : 4 limandes de 200 g chacune 15 cl de Saké 7 cl de Mirin 7 cl de sauce de soja 1 cuillère à café de sucre
Pour 3 ou 4 personnes
Temps : 30 minutes maximum
Ingrédients :
Pour 4 personnesIngrédients : 1 cuil. à soupe d’huile 1 oignon, coupé en quartiers fins 2 grosses carottes, coupées en cubes de 2 cm 1 grosse pomme de terre, coupée en cubes de 2 cm 60 g de pâte de curry japonaise farine, pour enrober la viande 4 escalopes de porc de 120 g, attendries (environ 4 mm d’épaisseur après attendrissement) 2 oeufs, légèrement battus 150 g chapelure japonaise (panko) huile, pour la friture gingembre en saumure, daikon en saumure, umeboshi (prunes en saumure), oignons frits, pour servir riz vapeur pour accompagner
Pour 50 raviolis fritsIngrédients : 50 galettes de pâte à gyoza 300 gr de boeuf hachée 3 grandes feuilles de chou 1 petit morceau de gingembre 1 poireau 2 cuillerées à soupe de sauce soja 2 cuillères à café d'huile de sésame 1 cuillerée à soupe de sake 1 cuillère à café de sucre poivre
Ingrédients : 5 tasses de riz cuit et chaud 300 g de bœuf de Bazas ( de préférence) dans le filet 1 gros oignon 4 œufs
Ingrédients :6 oeufs 8 cuillères à soupe de bouillon Ichiban Dashi une pincée de sel 1 cuillère à café de sauce de soja 1 cuillère à café de saké1 cuillère à soupe de sucre2 cuillères à soupe d'huileRecette :1. Casser les oeufs dans un bol, mélanger lentement. Incorporer le mélange.2. Chauffer la poêle à chaleur moyenne. La température est parfaite lorsque qu'une goutte de mélange grésille. Ajouter un peu d'huile. Essuyer l'excès d'huile avec une serviette en papier.3. Verser une fine couche de mélange dans la poêle. Dès que la couche est cuite, enrouler la couche vers soi avec une paire de baguettes.4. Servir avec du radis Daikon mélangé avec quelques gouttes de sauce de soja
voici les chiffres et les nombres en japonnais :